Les faits se sont déroulés ce mardi aux alentours de 11h30 à Aubière (Puy-de-Dôme). Une personne âgée a été visitée par trois individus, portant un uniforme de sapeurs-pompiers, calendriers en main.

Selon une information de nos confrères de La Montagne, pendant que l’un des intrus détournait l’attention de cette dame âgée, les deux autres en ont profité pour fouiller son habitation.

Le trio est reparti avec 1.000 euros en numéraire, sans que la victime se soit aperçue de rien pendant leur visite. Par prudence, les forces de l’ordre préconisent aux habitants de réclamer la carte professionnelle. Une enquête a été ouverte.

Il était 22 h 44 samedi soir quand les secours ont été appelés pour une intervention route de Narbonne à Toulouse. « Nous intervenions pour un homme d’une vingtaine d’années allongé dans une laverie« , indiquent les pompiers à Toulouse Alerte. À leur arrivée, ils ont découvert la victime sur le sol à l’intérieur ainsi qu’un chien, pas attaché, devant le bâtiment.

L’homme menace les pompiers

Au moment de lui porter secours, la victime aurait sorti un couteau et menacé les pompiers. « L’équipe sur place a réussi à le maîtriser avant l’arrivée de la police« , indique le SDIS 31. Les pompiers n’ont pas été blessés.

La police a interpellé le jeune homme. Il a été placé en garde à vue. Les pompiers ont décidé de porter plainte.

On ignore, pour l’heure, si le suspect âgé d’une vingtaine d’années était sous l’emprise de l’alcool.

Selon nos informations, confirmées par la gendarmerie nationale, un individu est activement recherché ce mercredi soir dans le massif du Barry, dans le département de Vaucluse.

Une centaine de militaires de la gendarmerie nationale sont déployés dans le secteur, afin de retrouver cet homme, considéré comme « potentiellement dangereux et armé ».

Un appel à témoins a été lancé sur les réseaux sociaux. Ce dernier a pris la fuite en début d’après-midi en direction du massif du Barry, situé derrière son domicile de Bollène.

« Si vous l’apercevez, n’intervenez pas vous-même et contactez immédiatement le 17 » peut-on lire sur un message de la gendarmerie.

Les gendarmes de la brigade de recherches d’Orange sont chargés de l’enquête et recherchent des témoignages pouvant conduire à la localisation de l’individu.

>> Plus d’informations à venir…

Les fonctionnaires de la police nationale auront dès le premier trimestre 2022, un nouveau polo modernisé et un calot au lieu de la casquette. Annonce officielle du président de la République Emmanuel Macron, en conclusion du « Beauvau de la Sécurité », ce mardi à Roubaix.

>> Plus d’informations à venir…

D’après nos informations, confirmées par une information du Métropolitain, un sapeur-pompier professionnel du SDIS 34, ainsi qu’un médecin montpellierain ont été mis en examen dans le cadre d’une enquête relative à un trafic de pass sinitaires.

Ils sont accusés d’avoir délivré une dizaine de faux pass sanitaires en échange d’une somme d’argent (350€ par certificat). Selon les premiers éléments de l’enquête, le pompier faisait l’intermédiaire entre les intéressés et le médecin, qui lui, fournissait le « précieux sésame ».

Un trafic rapidement découvert

C’est l’agence régionale de Santé Occitanie qui a donné l’alerte aux enquêteurs, quand elle appris l’existence de ce trafic. L’enquête menée par la section de recherches de Montpellier a permis de remonter rapidement vers les bénéficiaires et les éventuels protagonistes.

Une information judiciaire a été ouverte et les deux accusés ont été placés en garde à vue, avant d’être présentés à un juge d’instruction. Ce dernier a décidé de leur mise en examen et de les remettre en liberté, sous contrôle judiciaire. L’agent du SDIS de l’Hérault a été suspendu à titre conservatoire par sa hiérarchie.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, accompagné du ministre de la Santé Olivier Véran, s’est rendu ce lundi matin sur les lieux du crash du Dragon 38, sur la commune de Villard-de-Lans, près de Grenoble (Isère).

Ce dernier a annoncé que Pierre-François C., le mécanicien décédé en service commandé, sera décoré de la Légion d’honneur « pour le saluer ».

Il était âgé de 42 ans, marié et père « d’un petit-enfant » de 4 ans, a précisé Gérald Darmanin. Et d’ajouter, qu’il était « un agent très professionnel de la Sécurité civile du ministère de l’Intérieur ».

⚫️À bord du Dragon 38, Pierre-François portait chaque jour secours et assistance. Ce dimanche dans l’Isère, il a risqué sa vie pour sauver celle des autres.
Hommage aux pilotes, mécaniciens opérateurs de bord, sauveteurs & équipes médicales, qui dans les airs veillent sur nous. pic.twitter.com/g077oivJe4

— Sécurité Civile (@SecCivileFrance) September 13, 2021

Au nom du Président de la République, je veux rendre hommage à l’ensemble de la communauté du secours en montagne.
La Nation tout entière est reconnaissante envers ces femmes et ces hommes qui s’engagent pour sauver des vies. pic.twitter.com/ZSLUz4c1Fg

— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) September 13, 2021

D’après une information de nos confrères de La Dépêche du Midi, confirmée par la préfecture du Tarn, il était difficile de joindre les secours en région Occitanie durant le week-end dernier, puisque des antennes relais ont été détériorées par des incendies criminels.

Au moins deux départements ont été touchés, dont le Tarn et l’Aveyron, obligeant les services de l’État à communiquer la conduite à tenir auprès du grand public. Les citoyens étaient appelés à faire le 112, en cas de nécessité.

Une enquête ouverte

Au total, deux incendies ont été allumés sur des sites émetteurs, notamment à Albi, dans la nuit de vendredi à samedi. Un premier à 22h30, puis un second à 1h52, privant 50’000 abonnés SFR et Bouygues Télécom de couverture réseau. Le concours des sapeurs-pompiers a été nécessaire.

Bonjour. Ce n est pas une panne mais un acte de vandalisme (plusieurs incendies sur du matériel appartenant à TDF). Nos équipes sont à pied d œuvre pour rétablir le service dans le respect des contraintes de sécurité et de l enquête en cours.

— Guillaume FAURE (@GFaureDRAlticeF) September 11, 2021

Une enquête a été ouverte. Elle est confiée à la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) du Tarn. Plus de 50’000 abonnés étaient directement impactés. Les antennes-relais ont été placées sous surveillance, a précisé la préfecture à nos confrères.

Le Dragon 38 s’est écrasé ce dimanche aux alentours de 16h30, alors qu’il survolait les hauteurs de la commune de Villard-de-Lans, près de Grenoble en Isère, pour porter secours à un vététiste. Pour une raison qui reste encore indéterminée, l’appareil s’est écrasé au sol, provoquant deux explosions et un important nuage de fumée noire.

Cinq personnes se trouvaient à l’intérieur de l’hélicoptère au moment des faits, dont un pilote, un mécanicien, un médecin et deux secouristes du peloton de gendarmerie de haute-montagne. Le pilote est blessé légèrement, mais a été retrouvé en état de choc, son mécanicien est malheureusement décédé des suites de ses blessures. Le médecin du Samu a été hospitalisé dans un état grave, ainsi que les deux secouristes du PGHM en urgence relative.

Une enquête ouverte et plusieurs témoignages

Alors qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Grenoble et confiée à la section de recherches des transports aériens, afin de déterminer les circonstances et les causes exactes de ce drame, plusieurs témoins racontent la scène de panique à travers les médias.

« On était au lac de la Moucherolle. En descendant on a entendu une grosse détonation, il y avait une grande fumée noire. On a appris par un randonneur que c’était un hélicoptère qui est venu secourir un cycliste et on ne sait pas ce qu’il s’est passé… Il s’est penché et les réservoirs ont explosé. » 

– Témoin à france bleu Isère

« On a vu l’hélicoptère survoler la zone et on a entendu un grand boom, puis de la fumée, des morceaux qui s’envolaient, décrit-elle, encore choquée. Il y avait un couple avec deux enfants juste à côté, ils se sont mis à courir. Un autre monsieur s’est mis à plat ventre. Ça fait peur, on pense aux personnes dans l’hélicoptère… »

– Témoin à France bleu Isère

« On a vu l’hélicoptère faire deux tours d’approche au-dessus de la zone concernée et puis perdre de l’altitude brutalement »

– Témoin à BFMTV

Crash d’hélicoptère en Isère: un témoin raconte avoir vu « deux explosions très importantes » avec « beaucoup de fumée noire » pic.twitter.com/NOWGoqAz72

— BFMTV (@BFMTV) September 12, 2021

Un hélicoptère de la Sécurité civile s’est crashé ce dimanche 12 septembre aux alentours de 16h30, près de Villard-de-Lans, au sud-ouest de Grenoble (Isère). Ce que l’on sait du drame.

L’essentiel à retenir

• L’hélicoptère de la Sécurité civile approchait les hauteurs de Villard-de-Lans, près de Grenoble, pour porter secours à un vététiste, ce dimanche aux alentours de 16h30.
• Cinq personnes se trouvaient à bord du Dragon 38-1 : un pilote, un mécanicien, un médecin du Samu et deux militaires du PGHM.
• Pour une raison indéterminée, et d’après les informations de témoins, l’hélicoptère a fait deux tours pour reconnaitre la zone, avant de « perdre de l’altitude brutalement » et de s’écraser au sol. Deux explosions ont été entendues et un important nuage de fumée noire a été aperçu.
• Selon le bilan communiqué à 19 heures, le mécanicien de l’hélicoptère est décédé des suites de ses blessures. Le pilote souffrirait de blessures superficielles, mais ce dernier a été retrouvé dans un état de choc. Le médecin de Samu a été hospitalisé en « urgence absolue ». Les deux secouristes du PGHM ont été hospitalisés également, en « urgence relative ».
• A lire également : Crash du Dragon 38 en Isère : des témoins racontent la scène de panique.

J’adresse toutes mes condoléances à la famille et aux collègues du mécanicien de la sécurité civile décédé dans l’accident d’un hélicoptère se rendant en intervention avec à son bord 5 personnes. Tout mon soutien à la grande famille de la sécurité civile et du secours en montagne

— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) September 12, 2021

Selon la préfecture, citée par nos confrères du Dauphiné Libéré, cinq personnes se trouvaient à l’intérieur de l’hélicoptère de la Sécurité civile : « Alors qu’il se rendait en opération de secours (assistance à un vététiste, NDLR) sur le secteur de Villard-de-Lans, un hélicoptère de la sécurité civile s’est abîmé au sol, avec à son bord cinq membres de l’équipe (équipage et secouristes). Les causes de l’accident sont pour l’heure indéterminées. »

Un mort et quatre blessés

D’après nos informations, confirmées par les autorités, le pilote du Dragon 38 a été retrouvé en état de choc et souffrirait de plusieurs « plaies superficielles ». Le mécanicien est décédé des suites de ses blessures. Le médecin du Samu est hospitalisé en urgence absolue. Deux secouristes du peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) de l’Isère, également à bord de l’hélicoptère au moment des faits, ont été pris en charge et hospitalisés en urgence relative.

« On a vu l’hélicoptère faire deux tours d’approche au-dessus de la zone concernée et puis perdre de l’altitude brutalement »

– Un témoin à BFMTV.

Crash d’hélicoptère en Isère: un témoin raconte avoir vu « deux explosions très importantes » avec « beaucoup de fumée noire » pic.twitter.com/NOWGoqAz72

— BFMTV (@BFMTV) September 12, 2021

ISÈRE : Crash d’un hélicoptère de la Sécurité civile à Villard-de-Lans. Les cinq personnes à son bord sont blessées, dont trois très grièvement (Le Dauphiné libéré). pic.twitter.com/9HCTNzaqvo

— Infos Françaises (@InfosFrancaises) September 12, 2021

Crash d’un d’hélico de la sécu civil à l’instant vers Villard de lans (Isère), on l’a entendu tourner puis se cracher. 2 boums viennent de retentir. De la fumée est visible. @airplusnews @hydra_66 @auvergnerhalpes @France3tv pic.twitter.com/pbYBn9WATv

— Christophe Sylvain (@ChristopheSylv4) September 12, 2021

Depuis le 30 août 2021, le commandement des forces aériennes (CFA) accueille une nouvelle brigade. Après une année de montée en puissance, la brigade des pompiers de l’air est créée sur la base aérienne 120 de Cazaux.

La brigade des pompiers de l’air (BPA) réunit les pompiers de l’air, mais également les unités NEDEX (neutralisation et destruction d’explosifs) de l’armée de l’Air et de l’Espace. Elle compte 25 unités pour un total d’environ 1500 personnes. Les spécialistes du secours, de la gestion de crise et des situations d’urgence sont désormais réunis, permettant de gagner en coordination, efficacité et robustesse. La BPA est implantée sur la BA 120 de Cazaux, historiquement liée au domaine de la pyrotechnie, du secours incendie et du NRBC, et géographiquement proche de l’état-major du CFA (Bordeaux-Mérignac).

Partout où l’armée de l’Air et de l’Espace déploie ses avions, les pompiers de l’air sont engagés dans le sauvetage des vies humaines et la sauvegarde des matériels. Le Crash Fire Rescue pour la sécurité des aéronefs et de leurs équipages, la protection incendie des installations aéroportuaires, le secours à la personne, la sécurité nucléaire ou la défense contre la menace nucléaire, radiologique, biologique et chimique (NRBC) constituent les nombreuses facettes mises en œuvre chaque jour par les pompiers de l’air. Ils contribuent au maintien des activités de l’armée de l’Air et de l’Espace grâce aux opérations de désinfections de locaux et d’aéronefs pendant la pandémie COVID-19. Polyvalents, ils sont également formés pour réaliser des interventions de service public tels que le secours routier ou la lutte contre les feux de forêt au bénéfice des populations.

c’est aujourd’hui lundi 30 août 2021 qu’une nouvelle brigade est créée au sein du commandement des forces aériennes ! La Brigade des pompiers de l’air (BPA) vient s’inscrire dans une démarche d’optimisation des forces d’intervention de @Armee_de_lair pic.twitter.com/0nBcsjnr37

— Brigade des Pompiers de l’Air (@PompierAir) August 30, 2021

Les spécialistes NEDEX contribuent à la manœuvre militaire interarmées ainsi qu’à la protection des forces, des populations et des biens. Experts dans la neutralisation d’engins explosifs conventionnels ou improvisés, ils mènent des missions de dépollution, de destruction et de sécurisation sur le territoire national ou en opérations extérieures, mais également lors des accidents d’aéronefs équipés d’éléments pyrotechniques.