
Au cours de la matinée de dimanche, un drame s’est déroulé à Murcie, dans le sud-est de l’Espagne, où un incendie tragique a éclaté dans une discothèque, entraînant la perte de vie d’au moins treize personnes. Malheureusement, ce bilan continue de s’alourdir, car les opérations de recherche et de sauvetage se poursuivent, avec la police travaillant ardemment pour retrouver d’autres victimes parmi les décombres.
Peu avant 14 heures ce lundi, les équipes de secours d’urgence ont annoncé la découverte de six nouveaux corps dans les décombres de la discothèque, portant le nombre total de décès à treize. Ils ont également averti que d’autres victimes pourraient malheureusement être découvertes au fur et à mesure de l’avancée des opérations de recherche.
Les premiers intervenants ont été alertés vers 6 heures du matin au sujet d’un incendie déclaré dans une boîte de nuit située dans le quartier d’Atalayas à Murcie. Les pompiers ont rapidement réagi, mais malgré leurs efforts, le sinistre a déjà engendré quatre blessés, dont deux ont été conduits à l’hôpital pour recevoir des soins appropriés.
Cet incident tragique suscite une profonde tristesse dans la communauté locale et au-delà. Les autorités poursuivent leurs efforts pour identifier les causes exactes de l’incendie et examinent les circonstances entourant cet événement dévastateur. Nos pensées vont aux familles des victimes et à tous ceux qui ont été touchés par cette terrible tragédie.
Un violent événement météorologique a touché la commune de Gans dans le département de la Gironde aux alentours de 16h00 cet après-midi.
D’après les premières informations qui sont en notre possession, une dizaine d’habitations, la salle des fêtes et l’église du village ont été touchés. Il n’y aurait pas de blessés d’après un premier bilan.
Un important dispositif de secours du SDIS 33 ainsi que les autorités communales et départementales sont sur place.
Plus d’informations à venir via nos réseaux sociaux Facebook et Twitter…
Pendant qu’elle se trouvait en mission pour porter secours à une personne victime d’un malaise à Neuville-sur-Saône, une sapeur-pompière a été agressée par un individu qui est actuellement détenu en garde à vue.
Une femme pompier, qui intervenait en compagnie de ses collègues dimanche à Neuville-sur-Saône, dans la Métropole de Lyon, pour secourir une personne en état d’ébriété au domicile d’un couple, a été victime d’une agression sexuelle. Selon les informations du journal Le Progrès, confirmées par une source de la gendarmerie au Figaro, l’agression s’est produite lorsque l’homme a touché les parties intimes de la sapeur-pompière.
La situation s’est rapidement tendue entre les sapeurs-pompiers et les personnes présentes sur les lieux. Vers 16h40, les gendarmes ont été appelés à intervenir, et le couple impliqué a été interpellé et placé en garde à vue. Au cours de l’incident, deux pompiers ont subi des blessures légères. La préfète du Rhône, Fabienne Buccio, a publiquement condamné cette agression sur Twitter et a exprimé son soutien à la victime ainsi qu’à ses collègues.
Les dépouilles de onze individus ont été découvertes parmi les débris du gîte dévasté par un incendie le mercredi 9 août à Wintzenheim (Haut-Rhin), comme en a fait état Nathalie Kielwasser, vice-procureure du Tribunal judiciaire de Colmar. Cet établissement accueillait des personnes en situation de handicap ainsi que leurs accompagnateurs. La Première ministre, Elisabeth Borne, s’est rendue sur les lieux mercredi après-midi. Après avoir tenu des discussions avec des représentants locaux et les pompiers du Sdis 68, elle a pris la parole pour exprimer sa consternation face à ce « drame épouvantable », dont les circonstances demeurent encore obscures.
Il semblerait que le feu ait couvé pendant plusieurs heures avant que l’alerte ne soit donnée. Selon toujours Nathalie Kielwasser, la configuration du bâtiment laisse penser que les flammes ont pu se développer pendant un certain temps avant que l’alarme ne retentisse, aux alentours de 6h30 du matin. C’est la propriétaire du gîte qui a donné l’alerte après avoir entendu des appels à l’aide. Les occupants résidant au rez-de-chaussée « sont sains et saufs », a souligné la vice-procureure. Une enquête visant à déterminer les causes des décès a également été ouverte et confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Strasbourg.
Le gouvernement a exprimé sa tristesse face à cette « tragédie ». Elisabeth Borne avait rapidement annoncé sur Twitter qu’elle se rendrait à Wintzenheim accompagnée de la ministre des Solidarités, Aurore Bergé. Les deux ministres sont arrivées vers 14 heures sur les lieux du sinistre. « Face à cette tragédie, mes pensées accompagnent les victimes, les blessés et leurs familles », a réagi de son côté le président de la République, Emmanuel Macron, sur les réseaux sociaux.
Les personnes en vacances provenaient de Besançon et de Nancy. Le gîte accueillait deux groupes de personnes en situation de handicap, chacun encadré par une association différente. La préfecture a annoncé qu’une réception discrète pour les familles des victimes avait été organisée dans une salle à Wintzenheim. Le maire de Nancy, Mathieu Klein, a exprimé sa profonde peine envers ce « terrible incendie survenu ce matin à Wintzenheim, dans le gîte qui abritait des personnes en situation de handicap originaires de Nancy. » Il a adressé son soutien et ses condoléances aux familles des victimes.
Un important dispositif de secours a été mobilisé. Sur place, 76 pompiers, quatre camions de pompiers, quatre ambulances et un poste médical avancé ont été dépêchés en moins de quinze minutes. Au total, 300 m² sur les 500 que comptait le gîte privé ont été ravagés par les flammes, selon la préfecture. Malgré la violence de l’incendie, les pompiers ont rapidement réussi à le maîtriser, comme l’a précisé la préfecture. Par ailleurs, dix-sept personnes ont été évacuées, et une personne en situation d’urgence relative a été transférée à l’hôpital. Une personne en état de choc a également été prise en charge.
Le Service départemental d’incendie et de secours de la Manche (SDIS 50) a récemment intégré à sa flotte un VATT, un véhicule amphibie tout terrain innovant, spécialement conçu pour renforcer la sécurité en baie du Mont-Saint-Michel.
Ce nouveau véhicule d’intervention, au design audacieux évoquant un film de science-fiction, attire tous les regards au sein du SDIS 50.
Cet insolite VATT, produit par la société ukrainienne Sherp, arbore quatre roues motrices démesurées. Il vient augmenter le parc de véhicules des sapeurs-pompiers, dont la mission est d’assurer la sécurité des 1,28 million de visiteurs du Mont Saint-Michel et des personnes traversant la baie.
Après une phase de tests réussie en avril 2023 par le personnel du SDIS 50, le véhicule a démontré qu’il « satisfait tous les objectifs opérationnels, techniques et financiers établis pour les pompiers, grâce à ses capacités de franchissement, de flottabilité, de transport, ainsi qu’à sa facilité d’utilisation et d’entretien », souligne la préfecture de la Manche.
Un véhicule tout terrain respectant l’environnement
Ce nouveau VATT est destiné à remplacer les deux véhicules chenillettes amphibies du SDIS 50, en offrant une meilleure adaptation aux contraintes environnementales, aux risques et à l’afflux touristique considérable dans la Manche.
Grâce à son indice de pression au sol le plus bas parmi les véhicules amphibies, le VATT préserve le sol pendant la conduite, un point crucial compte tenu de la sensibilité de l’écosystème de la baie du Mont Saint-Michel, classée au patrimoine mondial de l’Unesco.
La motorisation du véhicule respecte également les normes anti-pollution. La préfecture de la Manche rassure : « il n’y a aucun risque de fuite de carburant ou d’huile grâce à la conception étanche de la coque ».
Un transport sécurisé pour 10 personnes
Le nouvel engin tout terrain, dont la flottabilité est assurée par les quatre imposants pneus à pression ajustable, permettra aux pompiers de surmonter aisément bras de mer, obstacles et zones vaseuses pour porter assistance à des personnes en danger.
Pour piloter ce VATT exceptionnel, capable de transporter jusqu’à dix personnes, cinq conducteurs ont été spécialement formés les jeudi 3 et vendredi 4 août 2023.
La société française Zelup a collaboré avec les pompiers de Paris pour concevoir une toute nouvelle lance à incendie. Cette innovation vise à offrir aux soldats du feu un outil plus performant, sécurisé et économe en eau.
Le mercredi 21 avril 2021, les Pompiers de Paris ont publié une vidéo de la démonstration de leur prochaine lance à incendie, un projet qui jusqu’à présent était strictement confidentiel. On découvre la projection d’un étrange brouillard d’eau en complément du puissant jet. Ce nuage de petites gouttelettes, très fines, constitue ce qui pourrait devenir une avancée majeure dans les technologies mises à disposition des pompiers. Outre ses atouts en termes d’efficacité et d’économie en eau, la lance pourrait relever significativement le niveau de protection des soldats du feu grâce à ce halo bruineux.
Effectivement, cette lance de nouvelle génération est le fruit du travail de l’entreprise française Zelup, qui se spécialise dans les solutions de nettoyage. Son baptême du feu a été réalisé suite à une demande du lieutenant-colonel Fabian Testa, du bureau d’étude de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris.
Le projet finalisé aboutit à une lance qui est capable d’utiliser entre six à huit fois moins d’eau que les lances traditionnelles, tout en étant en mesure d’effectuer des interventions qui étaient jusqu’à présent impossibles. Cette lance se révèle particulièrement efficace dans les feux en intérieur « à tirage inversé », où il n’y a qu’une seule ouverture, comme c’est souvent le cas dans les feux de cave. Grâce à cette innovation, les pompiers peuvent intervenir plus efficacement et en utilisant moins de ressources, tout en étant mieux préparés pour affronter des situations complexes et délicates.
Le nuage de gouttelettes d’eau projeté par la lance ne se limite pas à protéger contre le rayonnement thermique, mais il joue également un rôle crucial en abattant la quasi-totalité des particules en suspension. Ces particules sont particulièrement nocives et présentes en grande quantité lors des incendies. Grâce à ce procédé, la nouvelle lance offre une double protection en créant une barrière contre les effets thermiques dangereux et en éliminant les particules toxiques présentes dans l’air, contribuant ainsi à améliorer la sécurité des pompiers et des personnes présentes sur les lieux d’intervention.
Il est intéressant de savoir que cette lance prometteuse n’a pas encore été testée en conditions réelles, mais qu’elle a déjà été brevetée conjointement par Zelup et l’État français. La production est prévue de se dérouler dans l’usine de Zelup située à Condrieu (Rhône), au sud de Lyon. Elle sera progressivement intégrée aux gros camions des Sapeurs-pompiers de Paris, à l’horizon de 2024. Cette approche progressive permettra aux pompiers de bénéficier des avantages de cette nouvelle technologie au fur et à mesure de son déploiement dans leur flotte de véhicules.
Selon une information de nos confères de l’AFP, trois militaires de la gendarmerie ont été grièvement blessés et un homme qu’ils étaient venus interpeller est mort dans l’explosion de sa maison mercredi à La Chapelle (Allier).
Sept gendarmes blessés
« Trois gendarmes ont été grièvement blessés à la suite d’une explosion dans une maison dans laquelle ils étaient venus interpeller un individu, lui-même décédé » a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Cusset Eric Neveu.
« Sept gendarmes ont été blessés dont trois très grièvement à la suite d’une explosion dans le cadre d’une intervention dans l’Allier. Je leur apporte tout mon soutien », a tweeté le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
Sept gendarmes ont été blessés dont trois très grièvement à la suite d’une explosion dans le cadre d’une intervention dans l’Allier. Je leur apporte tout mon soutien.
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) March 15, 2023
Le 12 juillet 2021, Caroline, la mère de Ryan, a désespérément appelé les pompiers. Loïc, pompier de l’Oise, a alors aidé Caroline à distance à exécuter les gestes de premiers secours. Un an et demi plus tard, l’occasion s’est présentée pour Loïc de rencontrer l’enfant qu’il avait sauvé.
« Bonjour monsieur, c’est mon petit garçon de deux mois qui respire plus (…) il ne respire plus, il est tout bleu« , peine à expliquer Caroline, la mère du petit Ryan, désemparée. Sa maman a découvert le bébé dans son lit sans signes vitaux, victime d’un arrêt cardiaque.
#AppelAuSecours ☎️ »Allo les pompiers, mon bébé ne respire plus ». L’opérateur 18-112, premier maillon de la chaîne de secours. @Prefet60 @CD_oise @PompiersFR @SecCivileFrance pic.twitter.com/XGKIjbi2UJ
— Sapeurs-pompiers de l’Oise (@SDIS60) February 24, 2023
À l’autre bout de la ligne, Loïc, pompier de l’Oise, essayait de comprendre la situation, pour déterminer si le jeune garçon avait avalé quelque chose. Puis il lui indique les gestes de premier secours : « mettez-le sur une table madame, on va le faire ensemble (…) on va venir souffler. Englober le nez et la bouche avec votre bouche. Vous allez souffler tout doucement dedans d’accord ?« .
Il l’invite à effectuer le geste quatre fois, sans succès. « Madame, on va faire des compressions, je vais vous aider, c’est très important« , poursuit Loïc, qui lui indique la technique pour effectuer un massage cardiaque : « Vous allez imaginer un trait entre ses deux petits tétons, sous cette ligne-là, vous allez mettre deux doigts sur sa cage thoracique« . Puis le pompier lui donne le rythme pour effectuer les compressions.
« Il va falloir qu’elle réussisse, qu’elle appuie assez profondément, qu’elle se place bien au niveau de la cage thoracique et je me dis que si elle ne réussit pas malheureusement son bébé va mourir » relate l’opérateur aux équipes d’Envoyé Spécial, qui ont filmé les retrouvailles.
« Ah ça y est, il rouvre les yeux !«
Au 14ᵉ top, c’est le soulagement pour le pompier : « Ah ça y est, il rouvre les yeux !« , s’exclame la maman. « Et là, c’est génial, c’est le bonheur« , se souvient Loïc, visiblement ému.
Quelques semaines plus tard, la maman a posté une vidéo sur les réseaux sociaux pour exprimer sa gratitude envers les sapeurs-pompiers de l’Oise. : « Il a été super. Et il me calmait, me réconfortait avec ses mots (…) sans lui, Ryan n’aurait pas été là aujourd’hui« .
Aujourd’hui, le petit garçon va bien, en dehors de « quelques soucis de santé ». Pour Caroline, il était important de rencontrer Loïc, le pompier qui a sauvé son bébé, afin de mettre un visage sur « le héros de son fils » et le remercier de vive voix : « c’est vous qui avez tout fait, vous avez très bien réagi (…) c’est vous qui avez sauvé votre enfant« , lui répond humblement le pompier.
Le Service Départemental d’Incendie et de Secours de l’Oise met en avant l’importance de la formation en matière de gestes de premiers secours, d’autant plus que le Centre de Traitement des Alertes de l’Oise reçoit entre 800 et 1 000 appels chaque jour, assurés par huit opérateurs.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé au JDD vouloir lancer 3000 postes de « gendarmes verts », afin d’améliorer le travail d’enquête judiciaire, notamment en ce qui concerne les affaires d’incendies volontaires.
Durant l’été 2022, il y a eu entre 80 et 120 départs de feux par jour sur le territoire français. Un nombre significatif, ayant conduit à seulement 26 interpellations de pyromanes présumés.
« L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie. Ce sera une révolution », assure le ministre.
- retirer délicatement tout corps étranger visible et facilement accessible dans la bouche ;
- réaliser immédiatement cinq insufflations, de préférence à l’aide d’un insufflateur manuel de taille adaptée ;
Pendant la réalisation des insufflations initiales, rester attentif à tout mouvement, à tout effort de toux ou à toute reprise d’une respiration normale qui pourraient survenir. - débuter immédiatement une RCP en répétant des cycles de quinze compressions thoraciques suivies de deux insufflations ;
- demander un renfort médical en urgence absolue ;
- mettre en œuvre, le plus tôt possible1, le DAE et suivre les indications de l’appareil ;
- poursuivre la RCP jusqu’à ce que le DAE demande son interruption ;
- reprendre la RCP immédiatement après la délivrance ou non d’un choc électrique par le DAE sans attendre les instructions vocales du DAE.
- administrer de l’oxygène2 par insufflation ;
- réaliser une aspiration3 des sécrétions, si nécessaire ;
- mettre en place une canule oropharyngée4, si nécessaire ;
- poursuivre la réanimation entreprise jusqu’à l’arrivée des renforts médicalisés ou la reprise d’une respiration normale.
- surveiller régulièrement l’apparition :
- d’un pouls carotidien ou fémoral pendant les insufflations (localiser le pouls pendant les compressions thoraciques et maintenir la position lors des insufflations).
- d’autres signes de vie (la victime se remet à respirer, bouge, ouvre les yeux).
- adapter la conduite à tenir :
- Le pouls carotidien ou fémoral est perçu (hors compressions thoraciques) et la ventilation est absente ou anormale (FR ≤ 6 mvts/min) :
- interrompre les compressions thoraciques,
- poursuivre les insufflations. Dans ce cas, les ventilations doivent se rapprocher de la limite inférieure de la fréquence normale pour l’âge (cf. tableau suivant).
- contrôler le pouls carotidien ou fémoral en permanence.
- Le pouls carotidien ou fémoral est perçu (hors compressions thoraciques) et la ventilation est absente ou anormale (FR ≤ 6 mvts/min) :
Tableau 12 : Fréquences des insufflations
ÂGE DE LA VICTIME |
Frequence des insufflations |
||||
Nourrisson |
25 à 30 insufflations / min |
||||
Enfant |
15 à 25 insufflations / min |
-
- La victime reprend une ventilation normale ou bouge ou ouvre les yeux :
1 À deux secouristes ou plus avec DAE, un ou deux secouristes poursuivent le massage cardiaque et la ventilation, l’autre met en œuvre le DAE. À deux secouristes sans DAE, les deux secouristes poursuivent le massage cardiaque et la ventilation jusqu’à l’arrivée des renforts (avec DAE).
La mise en place des électrodes du DAE sur la victime doit se faire sans interrompre les manœuvres de RCP. L’interruption des compressions thoraciques doit être limitée à son minimum au moment des insufflations.
2 L’apport d’oxygène à la victime sous ventilation artificielle doit être réalisé dès que possible, sans retarder la mise en œuvre des gestes de réanimation.
3 Lorsque l’aspiration de sécrétions est réalisée, elle ne doit pas retarder ni interrompre les manœuvres de RCP ou la délivrance d’un choc électrique.
4 Une canule oropharyngée est mise en place en cas de ventilation artificielle inefficace par difficulté de maintien des voies ennes de la victime libres.
-
- cesser les compressions thoraciques et la ventilation ;
- réaliser une évaluation des fonctions vitales et assurer une surveillance constante de la conscience et de la ventilation tout en gardant la victime sur le dos ;
- protéger la victime contre le froid, le chaud et les intempéries ;
- se tenir prêt à reprendre les manœuvres de RCP en raison du risque majeur de récidive de l’arrêt cardiaque.
- Dans les autres cas, poursuivre la RCP jusqu’à l’arrivée de l’équipe médicale